|
|
|
|
Bientôt, les clientes de Ba&Sh pourront revendre en ligne les vêtements de la marque en leur possession.
Pour cette initiative, elle a développé des partenariats avec la plateforme dédiée à l’occasion Reflaunt, et avec Arianee, spécialiste de la blockchain qui travaille d’ores et déjà avec Breitling, Audemers Piguet ou Vacheron Constantin.
« Prolonger le cycle de vie des produits » et « encourager des formes de consommation plus durable » : dans un communiqué, la société a rappelé sa note d’intention quant à ce programme. Le service sera mis en place en avril sur le site web de la marque. Les clients disposant déjà de produits Ba&Sh pourront revendre leurs articles en un clic : à chaque vêtement sera associé un certificat numérique d’authenticité, transmis ensuite à l’acheteur qui l’aura trouvé sur l’une des plateformes d’occasion où il aura été proposé.
Cette nouveauté intervient alors que de plus en plus de consommateurs revendiquent plus de responsabilités en matière d’achat. Elle fait figure de cercle vertueux pour la marque, qui envisage désormais ses produits comme porteur d’une seconde voire d’une troisième vie grâce à la traçabilité offerte par la blockchain.
Dirigée par Pierre-Arnaud Grenade, Ba&Sh fait partie de cette génération de labels français qui portent haut les valeurs d’une mode féminine connectée. Un sens de l’innovation qui attire les investisseurs : outre Bernard Arnault pour Ba&Sh, General Atlantic soutient Sézane, et le fonds français Experience Capital Markets participe au développement de Sœur et de Sessùn.
